Il s’agit avant tout de remettre les Hommes au centre de la réflexion au même titre que des éléments plus rationnels ou quantitatifs. Comment transformer durablement des modes de fonctionnement, comment embarquer des équipes vers une cible sans prendre en compte la culture de l’entreprise, les contextes individuels ou collectifs… ? Comment s’assurer du plaisir de nos consultants à mesure que notre activité augmente ? Là aussi, il s’agit de faire un pas de côté avant d’avancer.
S’il y a plusieurs manières de faire du conseil, celle de Kéa me correspond particulièrement.
TÉMOIGNAGE
Faites un pas de côté…
et rejoignez Kéa !
Tom, Manager,
ESCP Europe
Faire du conseil son métier, c’est accepter le changement et, par conséquent, l’imprévu.
Pourquoi j'ai choisi le métier de consultant :
A la croisée des chemins, en fin de parcours académique, j’encourage chacun à faire un pas de côté en prenant le temps de questionner ses convictions et de déterminer ses véritables motivations. Même si cela paraît évident, nous sommes encore trop nombreux à passer outre, à creuser notre sillon tête baissée au risque de se réveiller trop tard.
Après 1 an de césure en marketing chez l’Oréal et Unilever, je possédais une bonne première vision du monde de l’entreprise et de ce métier. Cette expérience riche en apprentissage et en plaisir me poussait assez naturellement à continuer dans cette voie, mais je suis aujourd’hui certain que j’aurais fait fausse route.
C’est faire ce pas de côté pendant plusieurs mois ponctués de lectures, d’échanges et de réflexions qui m’a permis d’éviter cet écueil. D’un naturel (très) curieux, j’avais foncièrement besoin d’aller au-delà du marketing, de découvrir d’autres métiers, d’autres secteurs et d’autres cultures, et ce besoin se serait exprimé tôt ou tard… Le conseil me sembla alors répondre à toutes ces attentes : je changeai donc d’itinéraire !
Plus de 3 ans plus tard, je suis heureux d’avoir pris cette décision : le conseil est un métier passionnant, intellectuellement stimulant et qui satisfait ma curiosité. J’ai tous les jours le sentiment d’apprendre quelque chose, qu’il s’agisse de connaissances sur les secteurs (je vous ai déjà parlé des pompes funèbres ?), sur les métiers (qu’est-ce qu’un acheteur au juste ?), ou sur les arts et techniques du conseil (comment analyser et résoudre telle problématique, améliorer mon impact à l’oral et à l’écrit (…) ?).
L'imprévu, cela peut déstabiliser et demande d’être adaptable : repartir de zéro sur un sujet, refaire ses preuves face à un client et un manager, revoir son emploi du temps personnel, gérer ses déplacements… Mais j’y vois avant tout un environnement grisant source d’épanouissement à chaque mission : management différent, nouveaux interlocuteurs chevronnés, découverte de sujets, de secteurs, de localisation/périmètres d’intervention…
Pourquoi je ne ferai jamais ce métier ailleurs que chez Kéa :
Au même titre que ses concurrents prestigieux aux noms bien connus des étudiants, Kéa est un cabinet de conseil de direction générale, répondant à des problématiques de stratégie et de management ; pour autant, j’ai choisi de venir chez Kéa plutôt qu’ailleurs.
Si le conseil vous intéresse, si vous souhaitez vous développer professionnellement dans un environnement exigeant tout en conservant un équilibre de vie, si vous souhaitez être plus qu’un numéro parmi d’autres, si vous cherchez à être très tôt au contact du client et à avoir de l’impact, le tout dans un cabinet en croissance, à l’identité forte et où il fait bon vivre… eh bien… vous savez quel chemin emprunter.